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Love For Séries
29 septembre 2013

The Goldbergs, Trophy Wife & Back In The Game [Pilot - Review]

the goldbergs pilot2

Pilot - 8 940 000 tlsp - Taux 18/49 (%) : 3,1

Grandir dans les années 80 au sein d'une famille complétement barrée mais aimante, c'était le quotidien d'Adam, aujourd'hui trentenaire, qui se demande comment il a pu devenir si "normal" dans de telles conditions. A partir des vidéos qu'il a tournées pendant toute son enfance, il en retrace les événéments les plus marquants...

Je voyais en The Goldbergs un The Middle ayant lieu dans les années 80. Mes attentes n’étaient pas énorme, juste de pouvoir trouver quelques blagues marrantes et de sourire de temps en temps à quelques situations loufoques bien senties. Malheureusement, l’humour de la série n’a pas fait mouche. Peut-être qu’il ne me correspond tout simplement pas … Je n’ai pas ri, et je n’ai pas le souvenir d’avoir beaucoup souri non plus. J’ai trouvé quelques scènes amusantes, - notamment les moments où il est écrit ce que pense réellement le père quand il parle à ses enfants - mais ça s’arrête là. Surtout que la scène que j’ai préférée dans ce pilot de 22 minutes est … le caméo à la fin lorsqu’on se rend compte que les situations de la série sont inspirées de celles de la réalité. Maintenant le gag pourrait vite retomber au fil des épisodes. Ce qui sauve en partie ce pilot en fait, ce sont les personnages. Ils sont attachants d’office (même s’ils gueulent beaucoup et la plupart du temps). Surtout la mère en fait. Wendy McLendon-Covey est super sympathique et s’affirme comme la figure la plus drôle de la petite famille. Pour les autres, ils ont le mérite de bien se débrouiller. Barry, le grand frère est le plus mis en avant et il semble avoir un petit potentiel comique, tandis qu’Erica, la grand sœur est pas contre la moins mise en avant. Et c’est celle qui m’a le plus intriguée en plus. On ne la cerne pas tellement dans cet épisode, alors que les autres personnages sont rapidement présentés, mais efficacement. Et pour finir, l’ambiance année 80 était bien sentie et permet de faire le sel de la série par rapport à toutes les autres comédies familiales à l’antenne. Mais malgré tous ces points positifs, je ne suis pas sûr de pouvoir consacrer un peu de temps à la série. Je la garde pour l’été, au cas où, je tombe réellement sous le charme d’ici là.

Verdict :étoile de notation 2

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trophy wife pilot2

Pilot - 6 690 000 tlsp - Taux 18/49 (%) : 2,3

Kate, une ancienne fêtarde, change de vie instantanément lorsqu'elle tombe amoureuse d'un homme qui a déjà trois enfants, très manipulateurs, et deux ex-femmes, très présentes, qui la jugent sans cesse. En emménageant avec lui, elle n'imaginait pas devoir faire autant de sacrifices...

Parmi les trois comédies d’ABC lancées en cette rentrée que j’ai vu pour l’instant, Super Fun Night sera pour plus tard et il me tarde de la découvrir dans les semaines à venir, Trophy Wife est ma petite chouchoute. C’est celle que j’ai trouvé la plus drôle, la plus délirante et celle qui m’a le plus enthousiasmé. Le pitch de départ assez classique, le coup de l’arrivée d’une jeune femme dans une famille recomposée a déjà été fait des centaines de fois, n’est pas un handicap. Alors certes, la série n’est pas révolutionnaire mais elle m’a fait passer un très bon moment. C’est le principal non ? A elle de se bonifier avec le temps par la suite (et j’ai confiance en elle). Les personnages qu’ils soient principaux ou secondaires, assez caricaturaux il faut bien l’avouer, arrivent néanmoins à trouver leur ton et à faire rire. Malin Akerman s’en sort royalement et nous offre un personnage charismatique dès le pilot et porte sur ses épaules la série. Et surtout hilarant. Marcia Gay Harden est excellente dans son rôle de la première ex-femme, psychorigide et autoritaire. La hippie est aussi une bonne idée, même si l’on reste dans le pas original du tout. Petite réserve pour Bradley Whitford que l’on voit peu, et c’est un peu dommage. Du côté des enfants, ils sont drôles et leur potentiel comique est fort, même s’il est trop tôt pour se prononcer définitivement. J’ai lu que Bailee Madison allait se joindre à la petite troupe, et ça me ravit puisqu’elle était une des révélations d’Once Upon A Time dans son rôle de Blanche-Neige en petite fille. Il y aussi la meilleure amie de Kate, Meg, qui pourrait tirer son épingle du jeu. En bref, j’aime Trophy Wife malgré ses défauts. Les épisodes suivants on intérêt de garder le niveau, ce serait tellement dommage que la série suive le même chemin que Suburgatory lancée il y a de cela 2 ans sur ABC également … (vous vous en rappelez quand même, non ?)

Verdict : étoile de notation 3

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back in the game pilot2

Pilot - 8 020 000 tlsp - Taux 18/49 (%) : 2,2

Une mère célibataire, divorcée, qui n'a pas sa langue dans sa poche, emménage avec son fils chez son père, un joueur de baseball à la retraite et veuf, lui aussi grande gueule. Lors de son temps libre, elle coache l'équipe de baseball de son fils...

Pour tout vous dire, Back In The Game ne m’avait pas du tout interpellé ni même n’avait pas éveillé l’once d’une curiosité ou d’un engouement lors des upfronts en mai dernier. C’était d’ailleurs celle que je considérais comme la plus faible des comédies lancées par ABC cet automne, à cause de son pitch pas tellement original. J’avais été un peu arrogant sans doute. Mais appréciant bien l’univers du base-ball, j’ai décidé de me lancer. Que pourrais-je y perdre ? 22 minutes de ma vie, oui. Au bout du compte, ce pilot, il n’était pas du tout honteux. Je l’ai même bien aimé. Plus que celui de The Goldbergs en tout cas. Et je n’ai pas eu la sensation de perdre (complètement) mon temps non plus. C’était efficace, drôle et même prometteur. Certaines blagues ont fonctionné, surtout en ce qui concernait les enfants et Danny, certaines non mais j’ai presque envie de revenir pour une deuxième semaine. Mais je crains de ne pas avoir assez de temps. Je verrai bien. Quoi qu’il en soit, je dois d’abord souligner que le petit Michael, que l’on aperçoit très peu, est quand même un personnage juste hilarant. Hâte de le découvrir un peu plus, ainsi que sa mère, elle aussi pas mal dans le genre. Quant au reste, on n’évite pas les clichés, mais comment faire outre ? On se retrouve donc le personnage odieux, macho etc., mais qui a quand même un petit cœur. On sent le rapprochement avec l’héroïne d’ici la fin de saison. Rappelons qu’elle est divorcée et que ça ne doit pas être un hasard. On retrouve aussi la hiérarchie au collège (école primaire ?) avec la fille que tous les garçons s’arrachent et le petit roi. Mais bon, si l’on arrive à faire abstraction de cela, on passe un bon moment devant Back In The Game. Et c’est ce que j’ai fait.

Verdict :étoile de notation 2


Visuel ABC

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