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Love For Séries
game of thrones
31 mai 2012

Game of Thrones 2x05

The Ghost of Harrenhal

étoile de notation 3

15-Evangeline

Après l'excellent (pour ne pas dire parfait) 4ème épisode, la série revient avec un épisode presque aussi excellent que le dernier. Alors que Renly semblait la semaine dernière le plus à même d’embrasser la stature d’un vrai roi, les ténèbres engendrées par Melissandre ont eu raison de lui. Je pensais que ces ténèbres allaient être une arme pour la bataille, mais pas qu’elles iraient s’attaquer directement à Renly. Mais cette mort a le mérite de mettre route tous les évènements de l’épisode, et ils sont bien nombreux. Un seul être manque et les alliances se défont et se reforment pourrait-on dire. Car la grande question de cet épisode réside bien dans ces alliances, ces liens que l’on peut et que l’on doit tisser afin d’espérer gagner le trône de fer.

Bien évidemment, le grand gagnant de la mort de Renly n’est autre que son frère, qui voit une grande partie des troupes se rallier à lui. Seuls les hommes de Loras et Margaery Tyrell font sécession. A noter le court mais très bon passage de Natalie Dormer depuis quelques épisodes. Il est vrai, comme j’ai pu le lire ici ou là, qu’on a du mal à ne pas voir dans son rôle. Elle est parfaite dans ce rôle d’épouse aimante et dévouée mais tout de même assez détachée pour envisager ce qu’elle peut tirer de la situation. Une nouvelle fois la vraie personnalité, les vraies ambitions d’un personnage se révèlent lorsque lord Baelish est là pour les faire sortir. Les intrigues, les alliances et manipulation sont son domaine. Stannis donc semble être le grand vainqueur, Stannis qui renouvelle sa confiance à Davos. Le duo fonctionne parfaitement et Davos semble être le seul à pouvoir tempérer un peu son maitre. L’affrontement entre lui et Melissandre, s’il arrive, s’annonce assez tendu. Sur cette partie de l’épisode, signalons l’amitié qui se lie entre Catelyn et Brienne, qui sera un atout important pour les Stark, soit pour Robb, soit pour Cat (et Bran) si elle retourne à Winterfell.

 17-Evangeline


La nouvelle de la mort de Renly et de la nouvelle force, tant terrestre que maritime de Stannis, arrive vite aux oreilles de Tyrion et de Cersei, qui semble avoir un plan bien caché. Tyrion, dans une partie qui renoue avec l’humour présent par ce personnage dans la saison 1 découvre quels sont les plans de sa sœur et, bien évidemment les fait siens. Je le répète mais d’épisodes en épisodes, Tyrion prend de plus en plus d’importance, et étend son espionnage et sa domination souterraine sur toute la ville. Mais nous avons déjà parlé des enfants Lannister dans les précédentes critiques, parlons un peu du père Tywin. Charles Dance parvient à donner à ce personnage un immense charisme : bien qu’il ait eu à subir défaites sur défaites face à Robb Stark, il n’en perd pas ce calme, cette prestance et cette force qu’il dégage. La partie à Harrenhal est intéressante sur bien des points. D’abord, elle nous permet de voir plus souvent Arya. Révélation de la première saison, Maisie Williams s’affirme vraiment dans ce personnage, et son monologue face à Tywin, lorsqu’elle parle de son frère, filmé en gros plan et en clair-obscur, est assez époustouflant. Je pense que le « duo » qui est en train de se former entre elle et Tywin est très prometteur, car elle va vite voir je pense qu’il ne ressemble en rien à son petit fils. Je ne dis pas qu’elle va au final l’apprécier, mais la détestation ne sera pas celle qu’un (en l’occurrence une) Stark peut avoir à l’encontre d’un Lannister après ce que Jeoffrey a fait à Ned (et ce que Jaime a fait à Bran). Mais cette partie est intéressante aussi par l’arrivée de ce personnage mystérieux, Jaqen H'ghar, qui offre, tel un génie meurtrier, trois morts à Arya en remerciement de l’avoir sauvé.

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Enfin, parlons rapidement des deux exilés. Daenerys et Jon sont très liés finalement, il sont tous les deux hors du jeu, hors du système et ont leur propres problèmes à régler. Concernant Daenerys, l’arrivée à Qarth permet là aussi de poser les enjeux et les alliances. Comme je le disais pour l’émissaire des treize, tout dans cette ville suggère la duplicité et il y a, pour notre héroïne, une menace latente cachée sous tout ce luxe et cette politesse. Heureusement Ser Jorah veille même si ses sentiments pour Khaleesi ont de plus en plus de mal à être contenus et si l’idée du mariage proposé par Xaro Xhoan Daxos semble avoir du mal à passer. Ian Glen, tout comme Aidan Gillen sont de grandes figures de la télévision britanniques et apportent une haute qualité à des personnages non pas secondaires mais tout de même moins importants, ou plus en recul dans les intrigues.

Bilan: Très bon épisode encore une fois, cette saison 2 de Game Of Thrones montre qu'elle en a dans le bide.

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30 mai 2012

Game of Thrones 2x04

Garden of Bones

étoile de notation 3

capture[31950]

Je pense avoir saisi, avec cet épisode 4, ce qui différenciait la saison 1 de la saison 2 de Game of Thrones. Dans la saison 1, tant en terme de narration que d’importance et de charisme, la figure de Ned Stark dominait. Et le moins que l’on puisse dire, et nous le voyons encore plus depuis quatre épisode, c’est que Ned Stark était peut être le seul personnage profondément bon dans toute cette histoire. Alors oui, cela n’est pas une grande découverte, mais ça m’a sauté aux yeux lors de l’épisode de cette semaine qui est d’une noirceur presque jamais atteinte jusqu’ici. La mort de Ned Stark a laissé la place à un monde et à des comportements aussi malsains que cruels : Craster, Jeoffrey, Theon, Stannis ou encore Melissandre. Certes, ils étaient déjà présent, mais ce bon vieux Ned était, en tout cas pour nous spectateurs, comme un rempart.


Commençons par le plus évident : la mort de Ned Stark est concomitante de l’arrivée de Jeoffrey sur le trône, et le moins que l’on puisse dire est que nous avons affaire à une vraie petite ordure. Je trouve assez extraordinaire, de la part des scénaristes mais aussi de la part de Jack Gleeson, d’arriver à le rendre si méchant, si malsain, si fou tout simplement (comme lui rappelle Tyrion, avant son père régnait le « Mad King » dont il prend le chemin), sans tomber dans la caricature. J’attendais la confrontation entre Tyrion et son neveu, et la scène fut un régal, un régal de voir ce piètre roi remis à sa place. Mais jamais je n’aurais pu en deviner les conséquences, et cette scène avec les deux prostitués est absolument terrible. Et ce n’est que le commencement.

 3-Evangeline


Car dans la famille et les troupes des Lannister, tout le monde use de la malice ou de la cruauté. Même Tyrion, qui pourtant, avec ses traits d’esprits et son humour n’en reste pas moins lui aussi une véritable ordure, ou pour nuancer, une personne capable de devenir cette ordure lorsqu’il le faut. Nous le voyons, il parvient à manipuler son cousin, aux détriments de sa sœur, avec une finesse effrayante. De même, il faut noter l’esprit retors de l’auteur, qui a imaginé cette torture des rats à Harrenhal. Martin et HBO étaient vraiment faits pour se rencontrer, car on n'imagine pas (peut être sur FX à la limite) des scènes comme celle de la torture du rat. Les troupes des Lannister semblent être aussi folles que leur roi, et il faut l’arrivée de Tywin pour remettre de l’ordre : finalement, Tywin et Tyrion se ressemblent. La raison passe avant tout, mais la fin peut justifier de terribles moyens

16-Evangeline.12-


Du coté de Robb Stark  la guerre continue et "Le Roi dans le Nord" vole de victoires en victoires.  D’ailleurs, la première scène de nuit, le moment où il apparaît au clair de lune est très belle et très héroïque, elle lui donne vraiment le standing d’un roi. Robb a repris le rôle de son père, son souhait est uniquement de venger son honneur et de récupérer ses sœurs. Il refuse la torture, il refuse d’exécuter ses prisonniers et en prend soin, du mieux qu’il peut. Mais il n’en est pas « gentil » pour autant. La discussion avec la jeune femme (dont j'ai oublié le nom) le met devant ses contradictions, devant sa lâcheté, qui n’est pas apparente mais qui est là : il fait la guerre pour venger son père, mais après il s’en retournera dans le Nord à Winterfell, et laissera le monde aux mains du plus fort, et c’est bien là le problème.

Car la lutte fratricide dans le clan Baratheon n’augure rien de bon. Renly (Gethin Anthony) tire son épingle du jeu, et approche le plus de la stature d’un roi. Mais nous avons vu ses faiblesses cachées, enfin, pas si cachées que cela d’ailleurs puisque tout le royaume semble connaître ses préférences. En revanche Stannis (excellent Stephen Dillane) sombre de plus en plus dans les ténèbres, « aidée » par Melissandre. Mention spéciale à Carice Van Houten, qui apporte à ce personnage, par ses attitudes, par ses regards, un aspect constamment menaçant. Et cette scène finale, mais quelle scène finale ! Je parlais d’aspect malsain pour cet épisode, cette scène le symbolise tout à fait. Il fait sombre, les personnages sont malsains, leur nudité est crue et vulgaire et les situations dérangeante : l’accouchement de Melissandre est le summum, à la fois de la noirceur puisqu’elle semble accoucher d’une créature des ténèbres, mais aussi du drama. Pour moi, cette scène est comparable à la naissance des dragons. Sauf que pour les dragons, nous avions attendu le dernier épisode de la saison 1, là nous n’en sommes qu’au quatrième. En parlant de dragons, un petit mot sur Deanerys, qui parvient à trouver, à Qarth, un refuge. Cette partie fait du bien, ne serait-ce qu’à l’œil puisqu’elle nous permet de retrouver un peu de lumière. Mais une nouvelle fois, les personnages semblent porter en eux le vice et la violence. C’est notamment le cas ici de l’émissaire des treize : personnage très interessant, qui fait penser à ces tribuns ventripotents de Rome ou d'Athènes, ces personnages publics de haute valeur qui, une fois dans le domaine privé, peuvent adonner à toutes les exactions les plus abjectes. Je ne sais pas, n’ayant pas lu les livres, si ce sera le cas pour lui, mais son accoutrement, sa physionomie et son langage m’en ont donné une très mauvaise, et très dérangeante expression. Et le fait qu'il ne donne pas son nom (le nom, dans la série comme dans tout monde aux accents médiévaux, est extrêmement important) n'augure rien de bon. Les lecteurs me diront si je me trompe ou non.


Malsain, cruel, violent, dérangeant, sombre, cet épisode nous fait sortir de l’introduction, de la présentation des personnages et les utilise enfin pour nous faire plonger dans le vif du sujet. Le casting est vraiment d’une immense qualité, ils semblent tous habités par leur personnage et tiennent un récit qui, pour l’instant, ne nous a pas offert de grandes avancées. Cet accouchement mystérieux va faire bouger les choses, mais en tout cas cet épisode prouve pourquoi Game of Thrones, même si elle n’en est qu’à la moitié de sa deuxième saison, est une très grande série. Elle ne cherche pas à plaire, elle ne cherche pas le joli, Game of Thrones creuse au plus profond de l’âme humaine pour en tirer une noirceur qui effraie et passionne à la fois

Bilan: Excellent épisode, le meilleur de cette saison 2 jusqu'ici.

29 mai 2012

Game of thrones 2x03

What Is Dead May Never Die

étoile de notation 2

ca

Game of Thrones, en ce début de saison 2, est dans la mise en place des forces en présence, des différents prétendants au trône occupé à l’heure actuelle par Jeoffrey. Il faut remercier HBO de mettre toute sa confiance dans sa série, car un épisode tel que celui de cette semaine, pourrait très bien faire naitre quelques frustrations si on ne savait pas qu’on retrouverait les absents dès la semaine prochaine et ce pendant de nombreuses autres semaines. Car l’épisode trois met notamment de coté les intrigues de Stannis et de Deanerys, pour se concentrer sur d’autres points de la narration.

La narration justement parlons-en. Inhérente à la construction des livres par Martin, la division entre personnages est plutôt bien respectée mais commence à faire sentir le besoin de regrouper certaines intrigues, car nous passons, trop vite à mon gout même si je sais que nous n’y pouvons rien, d’un personnage à l’autre, et d’une intrigue à l’autre quitte à ne pas avoir notre dose de notre personnage préféré. C’est pour cela que je disais qu’il est bon de savoir qu’une saison trois - et par la suite une quatre et une cinq etc. - est en route : même si nous ne les voyons pas trop, nous les verrons sûrement plus tard.


Cette semaine, il est question d’héritage, de fratrie, de bâtardise et de filiation. Theon Greyjoy se voit placé devant un dilemme cornélien : quitter définitivement sa famille adoptive et se battre aux cotés des Stark, ou bien rejoindre sa famille, reprendre la place de fils que sa sœur lui a prise, et se battre contre les Stark. Cette partie ne me passionne pas plus que ça pour l’instant, nous sommes quand même en retrait et les Greyjoy ne me paraissent pas être une force d’attaque si importante que cela, ce qui fait que j’ai du mal à attacher une immense importance à cette partie. D’autre part, j’ai trouvé le retournement de Theon justement trop rapide  son retour dans la famille ne m’a pas convaincu. M’a plus convaincu la partie consacrée à Renly. Renly Baratheon, frère de Stannis, absent lui de cet épisode. Cette partie nous introduit dans un nouvel univers et nous présente de nouveaux personnages. Renly et le chevalier aux fleurs nous sont connus depuis quelques images de la saison 1, mais Margaery, sa femme (incarnée par Natalie Dormer, la Anne Boleyn dans The Tudors) et Brienne (Gwendoline Christie), guerrière immense tant par sa taille que par sa qualité et membre de sa garde, sont nouveaux pour nous. Cette partie est intéressante, surtout lorsque l’on passe derrière le rideau si je puis dire. En effet, c’est dans la conversation entre Renly et sa femme que tout réside : être roi, succéder à Robert Baratheon, passe aussi par la lignée ; or Renly est amoureux de Loras, le frère de Margaery . Cette dernière semble avoir très bien compris la situation, elle ne s’offusque en rien de cela mais elle lui indique qu’il faut qu’il ait un héritier. Intéressant d'avoir un contre pied comme celui-ci et interessant de tracer le parallèle entre Stannis et Renly. Deux frères, deux situations identiques puisque la semaine dernière Mélissandre a fait succomber Stannis à la simple mention de lui donner un fils…


De filiation et de bâtardise il en est question également pour Gendry et Jon Snow. Nous comprenons, par son simple regard, l’acte de Jon d’avoir suivi Craster. Ce dernier laisse périr ses fils, il les offre en pâture aux « Autres » et cet acte est insoutenable pour le pauvre bâtard. Il aurait pu être abandonné par son père, comme ces petits le sont mais lui a eu droit à une famille et à une éducation. Nous verrons comment cela évolue, mais j’espère que Jon Snow sera amené à retrouver certains autres personnages et ne passera pas toute la série sur ou au delà du mur, car j'aime beaucoup Kit Harington et son potentiel est à mes yeux immenses. Je ne sais pas si nous reverrons Craster, mais toujours passionnant de voir comment Game Of Thrones parvient à se détacher de la dichotomie classique entre le bien et le mal typique et à nuancer tous les personnages et leur morale. Gendry est lui aussi un bâtard, qui doit cacher son identité (et en cela il est aidé par Arya) : cette partie est la plus active de l’épisode, et l’assaut des troupes de Jeoffrey est mené avec une rapidité qui n’a d’égal que sa violence. Même si la fin est évidente, nous passons un très bon moment.

 3-Evangeline


Filiation, fratrie, héritages et alliances, tous ces concepts sont regroupés à King’s Landing. Tyrion s’impose de plus en plus comme le maitre à bord, et son petit jeu pour débusquer les traitres est absolument génial. Le jeu de Peter Dinklage et la réalisation y sont pour beaucoup, mais cette partie d’échec est absolument magistrale. Et on se rend compte qu’une nouvelle fois, le seul sur lequel on peut compter dans cette fosse à serpent est Lord Varys. Comme Ned Stark, Tyrion s’appuie plus volontiers sur lui que sur Baelish qui lui voit d'un très mauvais œil l’empiètement sur ses plates bandes. Mais contrairement à Ned Stark, Tyrion est un expert dans l’art de la manipulation, et les futurs combats avec Cersei s’annoncent tout à fait prometteurs. Une seule envie qui pour l’instant n’a pas été exaucée : le voir remettre Jeoffrey à sa place, mais cela ne saurait tarder.

Finalement, la division des fratries semble être un point primordial dans Game Of Thrones et pour Martin : Deanerys/Viserys dans la saison 1, la fratrie Stark qui a explosé dans la saison 1 également, symbolisée par le départ de Jon pour le mur, la fratrie Baratheon avec Stannis et Renly qui vont s’opposer frontalement, la fratrie Lannister qui s’opposent déjà mais de manière plus subtile, et enfin la fratrie Greyjoy avec Theon qui va tenter de retrouver une place dans sa vraie famille,  une place que sa sœur lui a prise, mais qui laisse de coté l’allégeance qu’il avait faite à son frère « adoptif », Robb Stark. Cela mériterait un petit essai plus qu’un simple paragraphe en fin de critique (je ferai peut être un dossier la dessus quand j’aurais le temps), mais il est très intéressant de voir que ce thème est au centre de la série. Les fratries s’opposent, et pour aller plus loin, avec les alliances et les mariages multiples, elles peuvent se faire, se défaire et se refaire à volonté.

27 mai 2012

Game of Thrones 2x02

The Night Lands

étoile de notation 2

GOT

Cet épisode 2 était dans la meme veine que l'épisode 1, les intrigues avancent très lentement. On met en place les intrigues et la dynamique de la saison 2. De nouveaux personnages apparaissent, tandis que d'autres continuent à être explorer. 

A commencer par Theon, rejeté par sa famille, avide de sexe (qui le conduit souvent à sa perte), la scène au bord de l'inceste avec sa soeur est assez dérangeante. Sa famille est déjà anthipathique, ces scènes m'ennuient.

Il y a aussi Stannis, creusé lui aussi dans cet épisode. Il est celui qui peut prétendre légitimement au trone. Il veut y acceder par tous les moyens, la sorcière rouge Mélissandre l'attire dans la tristesse, son royaume est sombre. Mais il y a aussi son ami Davos qui le ramène à la raison. Ce trio est assez interressant avec de très bon acteur.

On retrouve avec grand plaisir, Arya et Gendry (le seul batard de Robert Baratheon encore en vie) en route vers le mur.

A King's Landing se livre une guerre sans merci entre Tyrion et sa soeur Cersei. Leurs dialogues sont savoureux, le jeu des acteurs parfaits.

Dans le désert rouge, rien n'avance pour Daenarys and co. On revoit juste un de ces patrouilleurs avec la tête coupé sur son cheval. Il faudrait s'activer un peu là, parce que si on avance à ce rythme pendant toute la saison, dans le season finale, Daenarys viendra juste de trouver de l'eau pour les sauver ... Et au delà du mur, on apprend enfin ce qu'il advient des garçons de Craster. Il donne donc ses fils aux autres, sans doute les marcheurs blanc. En tout cas, très bon cliffhanger. 

26 mai 2012

Game of Thrones 2x01

The North Remembers, Season Premiere

étoile de notation 2

critique[1200]

Saison 1: Rappelez vous la saison se terminait  sur la mort de Ned Stark  qui conduisit à la guerre entre les Starks et les Lannisters, Arya avait réussi à s'échapper en se faisant passer pour un garçon et Sansa était retenue prisonnière. La dernière scène de la saison se terminait sur Daenarys avec un de ses dragons sur elle.

La saison commence quelque temps après les évènement de la fin des la saison 1, c'est la fin de l'été et on nous introduit directement dans l'univers atroce à Kings Landing, montrant la pauvre Sansa aux griffes de Joffrey. Les scénaristes ont bien pris soin de nous réintroduire dans l'intrigue. Le personnage de Tyrion est toujours aussi emblématique et nous parait le plus sympa, le plus juste et le seul sur qui on peut compter dans le monde impitoyable de Port Réal. 

 Au delà du mur dans le nord, la garde de nuit trouve réfuge chez un homme qui épouse ses propres filles et engendre de nouvelles filles qu'il épousent, c'est  la deuxieme relation d'inceste dans la série après les jumeaux Cersei et Jaime et franchement, on n'y va pas de main morte. Par contre, ce qu'il advient de ses fils m'intrigue beaucoup ... 

 Dans le désert rouge Daenarys, qui nous avait laissé en saison 1 sur la naissance de ses dragons, est bloquée dans le désert. Affamée et sans force avec ses dragons qui ne lui sont vraiment pas très utiles, et même encombrants pour l'instant. 

A Winterfell, Bran fait toujours des rèves où il incarne un loup. Indices pour la suite dans évènements ? On verra bien ...

Enfin on nous introduit un nouveau personnage, Stannis Baratheon le fils du défunt Robert. Il a appris que Joffrey n'est pas de son père et Cersei mais de Cersei et Jaime, il réclame donc le trone de fer. Il est aussi sous l'influence d'une sorcière du nom de Mélisandre. Cette saison commence mollement avec un bon épisode, presque sans révélations mais qui expose la situation à son rythme. Mais je sens qu'il va y avoir de la marge, donc préparons nous. Il me tarde la suite !

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